Modèle 3D des surfaces inondables
Afin
de
résoudre,
au
moins
en
partie,
les
contradictions
du
modèle
précédent,
nous
avons
réalisé
un
modèle
continu
sous
forme
matricielle
en
transformant
la
couverture
Veg7
en
une
matrice
dans
laquelle
chaque
maille
carrée
de
100x100
m
porte
la
valeur
de
la
profondeur
de
la
formation
végétale
qui
lui
correspond.
Il
est
ensuite
possible
de
calculer
des
courbes
«
d’égale
profondeur
de
submersion
»
pour
n’importe
quelle
valeur
sur
l’ensemble
du
Delta
et
d’en
déduire
les
surfaces
potentiellement
inondées
pour
chaque
profondeur.
Ainsi
la
courbe
«
0
»
correspond
à
un
Delta
intérieur
rempli
par
la
crue
de
référence
de
6,60
m.
La
validité
de
la
démarche
pourra
alors
être
comparée
avec
l’emprise
spatiale
de
l’eau
et
de
la
végétation
à
partir
d’images
Landsat.
Ce
modèle
n’entend
pas
représenter
la
propagation
de
l’onde
de
crue
dans
le
Delta
intérieur,
mais
permet
d'approcher,
année
après
année,
l’emprise spatiale potentielle de la lame d’eau pour des crues relevées à l’échelle de Mopti.
Quatre
images
Landsat
permettent
de
couvrir
tout
le
Delta
:197_050
pour
la
plus
grande
partie
du
Delta,
197_051
pour
le
sud
(Pondori), 197_049 pour le nord, le Débo et 198_050 pour le sud-ouest (de Ké Macina à Diafarabé).
Nous
introduisons
cependant
deux
remarques
importantes:
le
délai
de
l'onde
de
crue
moyen
pour
une
crue
comprise
entre
6
m
et
6,60
m
s'établit
entre
15
et
25
jours
de
Ké
Macina
à
Mopti
puis
entre
30
et
45
jours
de
Mopti
à
Akka,
à
la
sortie
du
lac
Débo.
Entre
Douna
(en
amont
du
Delta)
et
Sofara,
le
délai
moyen
de
propagation
de
la
crue
est
de
19
jours,
puis
de
10
jours
entre
Sofara
et
Mopti
(pour
une
crue
de
6.30
m
à
Mopti).
Or
nous
recherchons
l’extension
maximum
de
l’inondation
:
elle
pourrait
être
acquise
à
la
mi-
octobre dans le sud et ne se réaliser que fin novembre, voire en décembre, dans le nord du Delta.
D'autre
part,
et
bien
que
l’on
dispose
d’images
Landsat
depuis
1984
(la
crue
la
plus
faible
du
siècle),
la
collection
de
ces
images
est
incomplète.
Il
est
en
effet
rare
de
pouvoir
disposer,
pour
une
crue
donnée,
d’images
exploitables
de
septembre
à
décembre,
durée
de
la
propagation
de
la
crue
dans
le
Delta.
La
crue
à
Mopti
puis
à
Akka
résulte
de
la
combinaison
des
crues
(hauteur
et
date)
à
Ké
Macina
sur
le
Niger
et
de
Beneny
Kegni
(ou
Sofara)
sur
le
Bani.
Or
comme
nous
allons
le
constater,
chaque
crue
est
unique
et
une
hauteur
de
crue
à
Mopti
peut
être
atteinte
de
différentes
manières,
avec
tantôt
une
crue
plus
forte
à
Ké
Macina
et
plus
faible
sur
le
Bani,
ou
le
contraire,
ou
bien
avec
un
décalage
exceptionnel
des
dates
des
deux
crues
donnant
ainsi
un
résultat
particulier.
La
crue
de
5.10 m de 1990 en est un bon exemple comme nous le verrons en analysant cette crue.
Enfin,
les
images
Landsat
utilisables
sont
souvent
séparées
d'un
délai
d'un
mois.
Elles
permettent
de
discriminer
l'eau
mais
surtout
la
végétation.
Pour
les
analyses
nous
utilisons
des
sites
d’entrainement
choisis
dans
les
différents
milieux
(eau
claire,
eau
turbide,
végétation
avec
une
forte
réflectance,
végétation
des
marges
sahélienne,
sol
nu)
identifiés
sur
une
composition
colorée
de
type
753
pour
Landsat
8
(IFR
SW2,
proche
IFR,
vert)
ou
743
(IFR,
Rouge,
vert)
pour
ETM.
La
classification
se
fait
par
maximum
de
vraisemblance.
Les
résultats
de
la
classification
sont
ensuite
reportés
dans
les
limites
des
formations
végétales
sur
VEG7.
Chaque
parcelle
est
ensuite
contrôlée
visuellement
à
partir
d'une
composition
colorée
classique
(543).
À
chaque
fois
que
cela
est
possible,
nous
utilisons
des
dates
différentes
(de
septembre
à
décembre)
pour
l'ouest,
le
sud,
le
centre
et
le
nord
du
Delta,
soit
séparément
soit
de
manière
complémentaire
en
revenant
sur
l'analyse
d'un
même
espace
à
plusieurs
dates
différentes.
D'autre
part,
le
fort
développement
des
ligneux
sur
les
Togge,
buttes
exondées,
notamment
dans
le
sud
du
Delta,
nous
conduit
à
éliminer
ces
espaces
des
classifications lors du report sur VEG7 en les classant arbitrairement comme non inondables.
L’article
soumis
à
publication
en
Février
2020
"
The
drought
resilience
of
floodplain
vegetation
of
the
Inland
Niger
Delta
of
Mali
"
(Hiernaux
Pierre,
Turner
Matthew
D.,
Eggen
Michael,
Marie
Jérôme,
Haywood
Mark)
fait
suite
à
la
tournée
de
terrain
pendant
la
crue
2014
de
Pierre
Hiernaux
et
de
Matthew
Turner
qui
ont
revisité
les
sites
observés
entre
1979
et
1986.
L’analyse
des
changements
de
végétation
inclut
une
classification
des
données
numériques
des
images
Landsat
disponibles
basées
sur
les
valeurs
de
l’indice
NDVI
et
les
réflectances
dans
le
Moyen
Infra-Rouge.
Réalisée
à
l'Université
du
Wisconsin,
elle
montre
que
la
végétation
du
Delta
est
très
résiliente.
Elle
peut
rester
à
un
très
faible
niveau
de
production
lors
d'années
très
sèches
et
reprendre
son
plein
développement
lors
du
retour
de
bonnes
crues
sans
grand
changement
dans
la
composition
et
l'étagement
des
formations
végétales.
La
modélisation
nous
permet
de
représenter
les
surfaces
potentiellement
inondables
pour
une
hauteur
d'eau
donnée
à
l’échelle
de
Mopti
et
de
les
comparer
avec
les
surfaces
en
eau
et/ou
fortement
végétalisées
sur
les
images
Landsat
pour
une
année
donnée.
Nous
pouvons
en
déduire
la
surface
commune
au
modèle
et
aux
images
Landsat
et
proposer
un
ratio
de
confiance
du
modèle
.
On
peut
également
représenter
finement
les
différences
(en
plus
ou
en
moins)
entre
le
modèle
et
les
images.
Cependant
ces
valeurs
sont
à
prendre
avec
précaution
car
la
transposition
de
l'image
raster
dans
les
limites
de
la
couverture
vectorielle
de
la
végétation
(Veg7)
pose
problème:
cette
couverture
contient
des
erreurs
de
localisation
qui
peuvent
atteindre
500
m
sur
le
terrain.
Ces
erreurs,
si
elles
n'ont
pas
d'incidences
sur
les
grandes
surfaces
de
plusieurs
milliers
d'hectares,
en
ont
sur
les
petites
surfaces
et/ou
sur
les
surfaces
ayant
une
forme
filamenteuse.
Ceci
entraîne
une
obligation,
après
report
des
informations
"Landsat"
dans
Veg7,
de
vérifier
visuellement
près
de
14
000
unités
de
végétation
avec
une
appréciation
lorsque
qu'une
partie
de
l’unité
apparaît
inondée
et/ou
fortement végétalisée et qu'une autre partie ne l'est pas.
L'analyse
du
modèle
pour
des
hauteurs
d'eau
de
6.60
m,
6.21
m,
5.97
m,
5.10
m
et
4.40
m
nous
permettra
de
préciser
la
validité
de
la
démarche
"par
niveaux"
que
nous
avons
adoptée:
nous
constaterons
en
effet
que,
sans
remettre
en
cause
fondamentalement
cette
démarche,
il
convient
de
la
nuancer
et
de
la
compléter
par
une
analyse
des
grands
bassins
internes
du
Delta.
On
constatera
par
exemple
qu’une
crue
de
6
m
à
Mopti
correspond
à
une
crue
un
peu
plus
faible
dans
le
sud
du
Delta
et
un
peu
plus
forte
dans
le
nord
et
cette
constatation
semble
se
renforcer
pour
les
crues
les
plus
faibles.
Enfin,
aux
logiques
par
niveaux
et
par
bassins
se
surimposent
des
logiques
locales.
Une
formation
profonde
(VB)
isolée
entre
des
formations
peu
alimentées
peut
être
moins
inondée
qu’estimé
en
raison d'un effet de seuil observé sur l'image satellite et non prédite par le modèle.
Cependant,
malgré
toutes
ces
réserves,
la
relation
spatiale
entre
hauteurs
de
crues
à
Mopti
et
surfaces
inondées
pour
chaque
année
permet
de
tirer
des
observations
sur
les
productions
végétales
spontanées
et
sur
la
riziculture
en
submersion
non contrôlée.
La réalisation pratique du modèle
Dans
la
couverture
Veg7,
L’item
«
PROFOND
»
porte
les
profondeurs
de
chaque
formation
végétale.
Dans
ce
modèle,
les
niveaux
sont
codés
sur
deux
chiffres:
66
pour
le
niveau
6
(B)
et
65
pour
B/VOR
par
exemple.
Le
principe
retenu
pour
le
calcul
est
le
suivant:
on
attribue
à
chaque
formation
sa
profondeur
maximum:
par
exemple
B
=
-2.80
m.
et
VOR
=
-1.50
m.
Pour
les
mosaïques
on
effectue
la
moyenne
arithmétique
des
composants.
B/VOR
se
voit
donc
attribuer
une
profondeur
de
-
2.15
m.
L’environnement
extérieur
a
reçu
la
cote
arbitraire
de
+1
m
et
les
buttes
exondées
ont
reçu
la
cote
+
1
m.
Cependant
pour
les
mosaïques
associant
une
formation
inondée
avec
une
formation
exondée,
cette
dernière
se
voit
attribuer
la
cote
«0».
Ainsi
AG/TA
=
-0.30
(AG=
-0.60
et
TA
=
0 au lieu de +1 m lorsque les formations exondées sont seules).
Nous
avons
également
intégré
les
bras
d’eau
principaux
(Niger,
Bani,
Diaka
et
les
grands
lacs,
Débo….)
qui
initialement
constituaient
une
formation
unique
appelée
RIVER:
après
analyse
des
profondeurs
d’eau
des
principaux
bras
du
fleuve,
RIVER
a
donc
été
scindé
en
une
série
de
biefs
auxquels
nous
avons
alloué
les
profondeurs
reprenant
les
données
du
Modèle
Mathématique
du
fleuve
Niger.
Ces
études
réalisées
par
l'ORSTOM
pour
l'hydrologie
et
l'IGN
pour
les
relevés
topographiques
au
long
des
années
1980
ont
permis
à
la
SOGREAH
de
développer
le
modèle
"
CARIMA
"
simulant
les
écoulements
du
fleuve
de
sa
source
à
la
frontière
du
Niger et du Bénin avec le Nigéria.
À
partir
de
la
matrice
lissée
VEG7K3,
les
courbes
d’égale
profondeur
de
submersion
sont
ensuite
calculées
dans
ArcInfo.
Après
nettoyage
des
«
arcs
pendants
»,
chaque
courbe
est
transférée
sous
ArcGis
et
lissée
via
l’algorithme
Peak
à
300
m.
La
courbe
ainsi
obtenue
est
transformée
en
surface
appelée
NIV_XXX.
NIV_660
par
exemple
représente
la
surface
potentiellement
inondable
pour
une
crue
de
6,60
m
à
Mopti.
Après
nettoyage
des
erreurs
topologiques
et
suppression
des
surfaces
inférieures
à
1
ha,
la
courbe
de
niveau
correspondante
est
déduite
des
surfaces
en
eau
définies
par
le
fichier
vectoriel.
La
courbe
correspondante
à
NIV_660
porte
le
nom de L_660.
Le problème du Filtre de Gauss
Lorsque
deux
surfaces
contiguës
ont
des
profondeurs
de
submersion
très
différentes,
le
lissage
de
la
matrice
par
le
filtre
de
Gauss 500x500 entraine un décalage des limites qui modifie marginalement les surfaces calculées comme inondées par le modèle.
Figure 3 : modèle avant correction
Figure 4: modèle après correction
VEG7.rar
Télécharger
Enfin,
la
mosaïque
MB
a
été
modifiée.
En
effet
MB
est
la
formation
définie
comme
étant
«
la
mosaïque
de
berges
»
qui
fonctionne
pour
des
profondeurs
d’eau
allant
de
+1
m
à
-2.80
m.
Elle
est
donc
une
formation
complexe.
En
réalité
MB
recouvre
plusieurs
types
de
situations
:
Elle
peut
représenter
une
berge
et
suit
donc
un
gradient
qui
va
de
la
cote
+1
m
à
la
cote
-2.80
m.
Elle
peut
également
être
un
chenal
(de
-2.80
m
encadré
par
deux
berges).
Elle
peut
également,
et
c'est
le
cas
le
plus
fréquent,
représenter
une
berge
complexe
entaillée
par
des
virgations
profondes
qui
forment
une
série
de
petits
chenaux
parallèles
entaillant
la
berge
principale.
Nous
avons
donc
choisi,
sur
la
base
d'une
analyse
des
orthophotoplans
du
Modèle
Mathématique
du
Fleuve
Niger
(IGN),
de
subdiviser
les
188
polygones
siglés
MB
en
deux
catégories
:
MB1,
auquel
est
assigné
une
profondeur
de
-
2,80
m
et
MB2,
représentant
une
mosaïque
de
levées
et
de
chenaux
dont
les
profondeurs
s’étagent
de
+1
à
-2.80
m,
à
laquelle
est
attribuée
la
cote
-
1.40 m. (voir Tableau n°1 : relations entre les profondeurs d'eau et les formations végétales).
(Télécharger tableau n°1 : relations entre les profondeurs d'eau et les formations végétales)
La
nouvelle
couverture
ainsi
modifiée
s’appelle
Veg7
.
Elle
a
été
transformée
en
matrice
des
profondeurs
de
submersion
appelée
VEG7
sur
une
maille
carrée
de
100x100
m,
chaque
maille
étant
porteuse
d’une
profondeur
correspond
à
sa
formation
végétale
mère.
Nous avons également supprimé les plaines du Farimaké, ne conservant ainsi que la cuvette principale du Delta Intérieur.
Afin
de
supprimer
les
effets
de
seuils
dans
la
matrice
lorsque
l’on
passe
d’une
formation
à
une
autre
ayant
une
profondeur
différente,
on
a
appliqué
à
la
matrice
un
lissage
des
profondeurs
d’eau
avec
un
filtre
de
Gauss
de
500
m
x
500
m.,
ce
qui
permet
d’approximer le profil des cuvettes comme le montre la coupe suivante réalisée sur 3500 m.
Figure 2 : Coupe en travers de la matrice VEG7K3
Dans
l'exemple
ci-dessus
tiré
de
l
'
analyse
de
la
crue
de
5,97
m
à
Mopti,
on
voit
clairement
que
les
formations
P
et
VH
sont
partiellement
dans
le
modèle
calculé
alors
que
leur
profondeur
n
'
est
que
de
-0.30
m
tandis
que
VOR,
avec
une
profondeur
de
-1.50
m,
subit une discontinuité qui n
'
est pas justifiée par une variation de la profondeur. (Figure 3)
Ces
différences,
en
plus
(P-VH)
et
en
moins
(VOR),
n
'
ont
qu
'
une
faible
influence
sur
le
calcul
des
surfaces
inondées
(de
l
'
ordre
de
2
%)
mais
elles
introduisent
dans
le
modèle
des
fragments
de
formations
végétales
qui
n
'
appartiennent
pas
au
modèle
(P,
VH,
VSP/VH….) ou, au contraire, amputent le modèle de fragments de surfaces qui lui appartiennent (VOR, VB/VH…..)
Lors
des
comparaisons
avec
les
surfaces
inondées
sur
Landsat
pour
l
'
année
correspondante
à
la
crue,
nous
risquons
de
faire
apparaître
dans
les
fichiers
shapes
représentant
les
surfaces
inondées
commune
au
modèle
et
aux
images
et
dans
ceux
représentant
les
différences
(en
plus
et
en
moins)
entre
le
modèle
et
les
images,
des
listes
de
formations
végétales
qui,
si
elles
ne
représentent
que
de
faibles surfaces, faussent cependant les analyses.
Nous
avons
donc
décidé,
par
opérateur
spatial,
de
supprimer
ces
«
erreurs
»
liées
au
lissage
de
la
matrice
comme
le
montre
ce
même exemple après correction (Figure 4).
Pour
chaque
exemple
de
hauteur
de
crue
nous
indiquerons
la
surface
brute
du
modèle
calculé
et
la
surface
corrigée
qui
sera
retenue pour les comparaisons.
Dans
les
exemples
qui
suivent
(Pages
16
à
20)
nous
avons
«normalisé»
les
noms
des
fichiers
shapes
(en
prenant
pour
exemple
la
crue de 5.97 m et l
'
année 2006)
NIV_597
: Modèle calculé brut pour la cote 5.97 m à Mopti.
NIV_597_VEG7
: Modèle calculé, replacé dans les limite de Veg7 et corrigé des effets du lissage de la matrice.
VEG_2006
: Résultats de l'analyse des images Landsat pour l
'
année 2006 replacé dans les limites de VEG7.
COMMUN_597_2006
:
Surfaces
inondées
communes
aux
modèle
calculé
(NIV_597_VEG7)
et
aux
images
Landsat
(VEG_2006). Par « surfaces inondées » nous désignons les surfaces en eau et les surfaces végétalisées présentant une forte réflectance.
INON_MOINS_2006
:
Fichier
shape
qui
représente
les
surfaces
calculées
comme
inondées
sur
le
modèle
et
ne
ne
le
sont
pas
sur
Landsat.
INON_PLUS_2006 :
Fichier shape qui représente les surfaces inondées sur Landsat et qui ne le sont pas sur le modèle calculé.
SYNTHESE_597_2006
:
Représente
les
surfaces
inondées
communes
au
modèle
et
aux
images,
ainsi
que
les
surfaces
inondées
en plus et en moins
(SYNTHESE_597_2006 = COMMUN_597_2006 + INON_MOINS_2006 + INON_PLUS_2006).
Nous mettrons en téléchargement, pour chaque exemple, deux fichiers shapes :
NIV_XXX et SYNTHESE_XXX_YYYY
Les
items
de
Synthese_XXX_YYYY
permettront
d
'
extraire
facilement
les
fichiers
shapes
COMMUN_XXX_YYYY,
INON_PLUS_YYYY, INON_MOINS_YYYY et VEG7_YYYY
VEG7.rar contient Veg7.gdb (shape VEG7 et la matrice VEG7k3)
ainsi que Le tableau des profondeurs d'eau en excel.
les profondeurs sont multipliées par un facteur 1000